La terre nous veut le ciel aussi

Sommes-nous un ou plusieurs

Y en-a-t-il plus dedans ou dehors

Notre corps est- il à nous

Nos pensées en sont-elles

Qui va manger la merde

Et qui va boire le sang

Des milliards de bactéries dans notre intestin

Mènent un tintamarre à tout casser

L’araignée des nerfs gère l’équilibre

L’estomac veut le sucre et les poumons l’air

La peau veut le chaud les cheveux l’encens

Au milieu des autres on voit le chemin

Qui commande a qui là est la question

Le nuage a l’eau les plantes le carbone

Et les animaux la vraie école,

L’église a des besoins et des chefs frustrés

nous séduisent et nous éconduisent

Dieu veut les enfants le diable l’alcool

Les marchands sont à l’affut dans la toile

Les marins la voile les musulmans voilent

L’amante veut l’enfant et la femme l’ordre

Le pauvre veut l’argent et qui commande encore ?

Google veut les coockies et Bill l’abonnement

Elon veut la lune Emmanuel des bisoux

Je veux la vérité Bruno la compagnie

Les témoins le royaume

Le prêtre des enfants

Et si l’on veut parier

Choisissons-LE bien vite

...Internet est un immense jardin collectif, où tous ceux qui ont quelque chose à vendre tentent de capter notre attention, puis notre argent, mais où on retrouve aussi des amis, des amants, des artistes, et tout ce qui peut exister ici-bas.

Chaque post suscite une réaction. Chaque lecteur/spectateur va dépenser un peu d'énergie pour réfléchir, et encore plus pour interagir et écrire... est-ce de l'énergie gâchée ou va-t-elle permettre un peu plus d'ordre? Est-ce que l'entropie totale humaine peut être diminuée par l'effet d'une bonne idée... et est-ce que la numérisation change la donne.... ?

Ma conclusion personnelle est que l'immense fatras de l'ensemble des informations que nous stockons sur nos serveurs et faisons circuler entre nous dans les réseaux sociaux est un accélérateur d'entropie puisqu’il y a statistiquement plus d'idées et de données inutiles que de bonnes.

Au final, le mieux que nous ayons à faire est sans doute de nous déconnecter pour mieux nous consacrer à nous-mêmes et nos proches.

SOCRATE

La clef du bonheur est d'être humble, respectueux, curieux, équilibré, lucide, cohérent. "connais-toi toi-même..."

Nous pouvons tous être des SOCRATES, et c’est la clef du bonheur. Encore faut-il être humble, respectueux, curieux, équilibré, et … cohérent. Ecouter les anciens, et les autres, mais toujours avec discernement, sans soumission ni idolâtrie. Respecter les religions et cultiver l’humilité. Honorer ses parents et ascendants. Eviter l’adultère, le vol, le mensonge, la diffamation. Ne convoiter que selon ses besoins. Entrainer son cœur et son corps, cultiver la patience et l’abnégation, respecter les règles de la courtoisie, fuir la colère et s’abstenir de toute violence. Ne viser qu'un but, la sagesse et la force. Le moment venu, mourir sans regrets, en paix avec nous-mêmes..
Connais-toi toi-même (tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien)

Il faut surtout être conscient de soi-même, de ses ambitions, et cohérent avec elles. Se connaitre soi-même c’est avant tout connaître ses propres désirs, les identifier. Je peux avoir soif et prendre ça pour de la faim, avoir faim et prendre une cigarette, avoir besoin d’amour et trop parler. Savoir déceler la nature du stress de nos nerfs, nos désirs, nos faims, et les sources de nos dépressions est primordial. Savoir interpréter ces stress nous permet de les dominer et de les utiliser à nos propres fins, au lieu d’en subir les effets néfastes.

Le bonheur c'est le plaisir sans remords

Le bonheur est dans la lucidité et la cohérence. La dépression nait de nos contradiction internes, qui d’ailleurs ne sont pas si internes que ça puisqu’on intègre l’opinion des autres. La dépression a pour cause les dissensions entre nos propres désirs et l’opinion commune, la vérité de nos souvenirs. Cette dernière se heurte à notre propre vérité à chaque instants et crée des remous qui attaquent notre propre intégrité.

Existe-t-il pour l'Homme un bien plus précieux que la Santé ?

La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité. Donc la santé, c'est le bonheur, et vice versa

Mieux vaut encore subir l'injure que la commettre. Si un âne te donne un coup de pied, ne lui rends pas.

Le plus important reste de ne fâcher avec personne, c’est contre-productif. L'agressivité animale nous permet de conquérir notre espace vital. Mais une fois acquis les quelques mètres carrés qui nous sont utiles, le peu d'air, d'eau et de nourriture dont nous avons besoin, l'instinct fondamental de procréation, d'amour, et de partage doit reprendre le dessus.  Laisser libre cours à notre agressivité à mauvais escient est une perte d'énergie nuisible à tous...

Ceux qui désirent le moins de choses sont les plus près des dieux

Il est plus difficile à un riche d'entrer au royaume de Dieu qu'à un chameau de passer par le chas d'une aiguille à coudre. Les marchandises nous fascinent, mais l'essentiel est ailleurs. Celui qui est riche et ne partage pas, celui qui accumule les biens sans limite, ceux qui consacrent leur temps à la beauté ou la force, sont des malades d'amour.

Il n'y a point de travail honteux

Nous ne nous approchons de la vérité que dans la mesure où nous nous éloignons de la vie

La sagesse commence dans l'émerveillement

Les gens qu'on interroge, pourvu qu'on les interroge bien, trouvent d'eux-mêmes les bonnes réponses

Un homme qui a faim n'examine pas la sauce

Une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue

Nul n'est méchant volontairement

Le mal vient de ce que l'homme se trompe au sujet du bien

Nous ne savons pas quelles puissances nous dirigent et jouent avec notre destin. Mais elles ne sont pas toutes humaines. Toute erreur humaine vient de l’homme. Toute erreur personnelle, toute erreur collective, le défaut de croire que l’homme est au centre du monde, sait tout, domine la nature, croire qu’on se connait, et qu’on connait les autres, viennent tous de l’aveuglement humain sur ce qui est bien, ou mal.

Le temps malgré tout a trouvé la solution malgré toi

Que voulez-vous que je lui apprenne ? Il ne m'aime pas

Rien n'est trop difficile pour la jeunesse

L'âme déréglée est comme un tonneau percé à cause de sa nature insatiable

Un trésor de belles maximes est préférable à un amas de richesses

Je crois qu'on ne peut mieux vivre qu'en cherchant à devenir meilleur, ni plus agréablement qu'en ayant la pleine conscience de son amélioration

Il s'en faut de beaucoup que le bonheur consiste à multiplier indéfiniment nos besoins et les jouissances qui les peuvent satisfaire

os jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l'autorité et n'ont aucun respect pour l'âge

. À notre époque, les enfants sont des tyrans.

Existe-t-il pour l'Homme un bien plus précieux que la Santé ?

Si un âne te donne un coup de pied, ne lui rends pas.

Mieux vaut encore subir l'injure que la commettre.

Le bonheur c'est le plaisir sans remords

Ceux qui désirent le moins de choses sont les plus près des dieux.

Il n'y a point de travail honteux

Nous ne nous approchons de la vérité que dans la mesure où nous nous éloignons de la vie.

La sagesse commence dans l'émerveillement.

Les gens qu'on interroge, pourvu qu'on les interroge bien, trouvent d'eux-mêmes les bonnes réponses.

Un homme qui a faim n'examine pas la sauce.

Une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue.

Nul n'est méchant volontairement.

Le mal vient de ce que l'homme se trompe au sujet du bien.

Vous pouvez cacher aux autres une action répréhensible, mais jamais à vous-même.

Le temps malgré tout a trouvé la solution malgré toi.

Que voulez-vous que je lui apprenne ? Il ne m'aime pas

Rien n'est trop difficile pour la jeunesse

L'âme déréglée est comme un tonneau percé à cause de sa nature insatiable

Un trésor de belles maximes est préférable à un amas de richesses

Je crois qu'on ne peut mieux vivre qu'en cherchant à devenir meilleur, ni plus agréablement qu'en ayant la pleine conscience de son amélioration

Il s'en faut de beaucoup que le bonheur consiste à multiplier indéfiniment nos besoins et les jouissances qui les peuvent satisfaire

Nos jeunes aiment le luxe, ont de mauvaises manières, se moquent de l'autorité et n'ont aucun respect pour l'âge. À notre époque, les enfants sont des tyrans.